la danza femminile che più si avvicina all'essenza, al tearo Noh, vede in Xavier Comas un reporter e un esteta
2 danzatrici sono spesso presenti su internet, con spettacoli in giro per il mondo, la prima Tawara Noe, nata nel 1977 a Furuoka,
la seconda è Uno Sayuri,
Sayuri
UNO a etudié la danse Nihon Buyo à Kyoto et Tokyo avec Yoshinosuke Fujima et
Hideka Fujima. Elle débute sa
carrière professionnelle de danseuse traditionnelle japonaise en 2003 en
Italie, au festival Il Circolo della Musica et au Festival d'Emilie-Romagne
dont elle est présentée comme l'un des événements les plus importants. Par la
suite, UNO évolue vers le Jiuta-mai et après un entraînement intensif à Tokyo,
Osaka et Takarazuka, reçoit de son maître, Ufo FURUSAWA, son nom de scène: Yusa
FURUSAWA.
Jiutamai s’est développée à Kyoto et Osaka
à la fin de l'époque Edo. On l'appelle aussi "Kamigata mai" ou
"Zashiki mai". Elle à été beaucoup influencée par le Nô et exprime,
avec des mouvements lents et bien mesurés, la sensibilité et la délicatesse de
l'univers féminin et des émotions des femmes. Cette danse est appréciée dans le
monde entier pour son raffinement et la perfection de ses mouvements.
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